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Suite aux dégradations de la réfection de toiture
Le plus long, c'est les petits éclats à boucher.
Beaucoup de bâches, car c'est une moquette crème en dessous.
Il faudra, à cause de la mezzanine, un échafaudage, un plaisir de cascadeur, à mon âge !!.
Suite aux travaux de couverture, peu de dégâts à l'intérieur, juste les têtes des vis à placo. Cela obligera, néanmoins, à refaire la peinture.
Et à cause de l'escalier, un autre échafaudage.
Grâce à Zorro qui est venu. Je veux dire Gérard. La plate-forme est installée, ce 14 avril 2008.
Aussi installé le portique de peintre, échelle, escabeau, bâches. Le peintre en bâtiment, que je suis, va se mettre au travail.
Le support d'échafaudage en position.
Cela oblige à refaire la peinture à cause des têtes comme celle-là. Ce n'est pas beau à voir.
Il y aura aussi le pourtour des velux à refaire. La nouvelle toiture ayant relevé la tête par rapport à l'ancienne.
Sur l'échafaudage de la mezzanine, une caisse en bois pour atteindre le plafond, et un tabouret pour avoir la peinture à portée.
Vu de près, cela tient, si, si. Je suis encore vivant.
Les plaisirs des travaux dans un escalier. Vous avez bien compté, il y a quatre cales.
Pour finir la mezzanine, le bas avec plateau de peintre.
Et aussi les câbles électriques. Nous sommes le 31 mai 2008.
Maintenant, il faut faire la même chose pour la corniche de passage des câbles de l'escalier. Ici, visible les tuyaux du chauffage.
Sans oublier la corniche. Celle-ci était restée ouverte pour passer les câbles électriques.
A part la poussière que pourrait-on mettre pour meubler cette corniche ?
L'échafaudage dans l'escalier. Coup de chance, le buffet est à la bonne hauteur.
Eh oui, plein de raccords, ceci dû à l'existant, et à ma plaque trop courte. Prenons le pari que cela ne se verra pas en final.
Le ponçage du placoplatre, ce n'est pas une sinécure en propreté.
C'est fini, pour la peinture du haut. Visible à droite, une lumière automatique, en cas de panne EDF.