Planeur F20 perso
Planeur F20 perso "non maquette" pour les jours de "joli brise" lorsque la mer est blanche de moutons

(ne vole pas en-dessous de 25Km/h de vent)
devient vraiment bien au dessus de 40Kmh
(avec ce vent il fait sans difficulté cinq tonneaux en montée verticale)

1.2m d'envergure, 1.1Kg

Heppler 374 à 6%, calage zéro, dièdre zéro, V longitudinal zéro.

Aile en un seul morceau, construction classique : polystyrène, balsa, tissus de verre
non démontable et solidement encastrée et "choucroutée" au fuselage à la résine.

Ailerons découpés dans l'aile originale, articulés par le tissu de verre.

Empennage et dérive : 6/10 CTP au milieu et balsa 30/10 de chaque côté,
le tout marouflé de tissus de carbone et aussi,
non démontable et solidement encastrée et "choucroutée" au fuselage à la résine.
Il faut faire solide pour l'atterrissage,
car les turbulences sont violentes sur la pente par "joli brise".
(Mon F20 a fait, une fois, un double roulé-boulé tête-queue sans dégât).

Un servo par aileron, commande courte, pas de jeu.
A cette vitesse les commandes sont "mordantes".

Pas plus difficile à piloter que mon Jédi, malgré son bras de levier assez court.
Juste, environs, trois fois plus nerveux.
Disons quand le Jedi fait un tonneau en deux secondes, le F20 en fait deux à la seconde.

Seul point sensible, il se fait embarquer brutalement si vous restez en vol tranche.
et doit être lancé bien à plat.

Je n'ai pas le moule, le plan page suivant F20plan

Le F20 sur la zone d'atterrissage de la pente
50m jusqu'au talus au fond
(après le talus et son fil éléctrique, je ne sais pas, car aucun planeur n'en est jamais revenu).

Voilà le vent et le soleil qu'il faut pour le F20, 65Km/h mesuré.

Mon F20 vole depuis 1996, sans réparation.

Et 100gr de plomb,
deux morceaux de 50gr l'un par-dessus l'autre
Il en faudrait encore plus

tout à gauche on aperçois le vibreur d'un coin-coin.
Les servos sont collés, les commandes en tube carbone


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