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Label: | Deutsche Grammophon |
Composer: | Schumann, Robert |
Release: | 1984-02-28 |
Date Added: | 2007-10-28 |
Price: | EUR 23,25 |
Discs: | 1 |
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kinderszenen op. 15 : scenes from childhood , scs d'enfants, scene infantili
- kreisleriana op. 16 : serst bewegt , agitatisimo
- kreisleriana op. 16 : sehr innig und nicht zu rasch , con molta espressione , no
- kreisleriana op. 16 : sehr aufgeregt , molto agitato
- kreisleriana op. 16 : sehr langsam , lento assai
- kreisleriana op. 16 : sehr lebhaft , vivace assai
- kreisleriana op. 16 : sehr langsam , lento assai
- kreisleriana op. 16 : sehr rasch , molto presto
- kreisleriana op. 16 : schnell und spielend , vivace e scherzando
Summary: Schumann est l'un des premiers compositeurs à avoir consacré tout un cycle, les "Kinderszenen" (scènes d'enfants), au monde de l'enfance. Ces miniatures raffinées (et nullement enfantines !) semblent nous raconter, au-delà de la pureté diamantaire de leur écriture, de brefs secrets, comme si Schumann y exprimait la nostalgie d'un monde qui ne reviendra plus jamais. Le cycle suivant, les "Kreisleriana", repose sur la "folie" d'un ouvrage de Hoffman, dont le musicien tire huit sortes de courts poèmes symphoniques. L'audace de cette partition de 1838 fait alterner le démonisme et la plus chaleureuse tendresse. L'immédiateté de la succession des atmosphères nécessite une technique pianistique parfaite, mais plus encore un tempérament artistique puissant. Que dire de la vision de Martha Argerich, explosive, passionnée, urgente ! C'est un flot sonore ordonné comme la voix d'une poétesse disant les mélodrames, alors en vogue à cette époque. Des lectures épiques et symphoniques qu'il faut toujours garder à portée de soi ! "-- Pierre Massé"
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