1. Sym No.2 'Resurrection': I. Allegro maestoso
2. Sym No.2 'Resurrection': II. Andante moderato
3. Sym No.2 'Resurrection': III. In ruhig fliessender Bewegung
4. Sym No.2 'Resurrection': IV. Urlicht. Sehr feierlich, aber schlicht
5. Sym No.2 'Resurrection': V. Im Tempo des Scherzo

Summary: En cause l'interprétation de Solti et pas, évidemment, la symphonie de Mahler qui reste extraordinaire. Solti comme à son habitude en fait des tonnes, prenant n'importe quelle oeuvre dans le seul but de faire du "gros" son, de mettre en avant l'orchestre et de le faire sonner bruyamment. Aucune réflexion, aucune finesse de jeu, comme toujours avec Solti. C'est du son pour du son, du bruit pour du bruit. Avec Solti ca passe ou ca casse, malheureusement ca casse souvent ! Il se lance tête baissée dans la partition, avec, certes, une certaine énergie, mais ca en devient systématique, il n'y a aucune phase de calme, de détente. Quand il voit un simple "forte" ds la partition il le joue comme un "fortissimo" avec les cordes qui attaquent en écrasant l'archet. Il y a des oeuvres où cela fonctionne plutôt bien, comme la tétralogie de Wagner, mais ds Mahler, il est à coté. Si vous n'êtes pas convaincu écoutez son Finale de la 7è, affligeant.
Si vous souhaitez un bonne version, tournez vous vers Klemperer, Mehta, Abbado ou Bernstein, en attendant la sortie en disque de la version de Boulez.