Surtout que les vents dominants sont dans l’axe, et poussent vers le fond, sans oublier qu’un bateau quille longue ne tourne que d’un coté en marche arrière. En théorie, avec une hélice qui tourne en marche avant dans le sens des aiguilles d’une montre, le cul vire à bâbord en marche arrière, donc pour moi favorable pour partir.
Hé, bin, c’est raté, Brambers vire assez fort à tribord en marche arrière, et même pas capable d’aller droit avec de la barre. A la première sortie, je me suis retrouvé le cul proche des bateaux des pêcheurs avec le nez vers le fond à 30 degrés.
Depuis, je pars en marche arrière. Voir le diaporama Brambers sort du ponton.